Mollement alanguie
devant une toile *
de Josep Grau-Garriga
et accoudée, sans gêne,
sur une de de ses sculptures*,
la Maja,
celle de Francisco de Goya,
sans doute
légèrement dépaysée, semble, du coin de l'oeil,
chercher une sortie.
*peinture "Vell Combatent" (1988)
*sculpture "Souvenir d'enfance" (1988)
Maja